Toujours l'horreur pour les poussins broyés

Publié le 14 Décembre 2022

Ecoeurée par ce monde, dégoûtée de l'humain, une haine profonde pour nos gouvernements et pour tous ces gens capables de tout ça. Ne rien pouvoir faire pour stopper toutes ces souffrances me rend dingue si j'y pense. Alors je n'y pense pas en dehors des "actions".

Le précédent quinquennat d’Emmanuel Macron avait conduit à deux engagements en matière de traitement des animaux d’élevage : l’arrêt de la castration à vif des porcelets et l’interdiction de l’élimination des poussins mâles par broyage ou gazage, une pratique effectuée sur 50 millions de spécimens chaque année, justifiée jusqu’alors par le fait que les poussins mâles n’ont pas d’utilité dans la filière des poules pondeuses.

Mais l’interdiction, qui devait être effective début 2022 avant d’être reportée d’un an, ne sera que partielle. A quelques semaines de l’entrée en vigueur, prévue le 1er janvier 2023, un arrêté publié jeudi 8 décembre au Journal officiel précise le cadre des dérogations prévues : dans la filière des poules blanches, pour lesquelles les techniques d’ovosexage (détection du sexe des embryons dans l’œuf) sont différentes de celle des poules brunes, l’élimination des poussins mâles, après éclosion, sera toujours possible par gazage et servira en alimentation animale. Selon les chiffres de l’interprofession des œufs, ce sont 15 % des poules en France dont les poussins mâles pourront toujours être éliminés.

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Rédigé par cleo

Publié dans #Alertes

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H
Tous pourris ces gens là, corrompus pour la plupart. Là ils vont de nouveau passer une dérogation pour le pesticide tueur d'abeilles... bises
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